Car, je pensais, ne vous déplaise.
Je pensais à un cavalier.
Sur son cheval nain indocile à lier
Le for cavalier Chevalier avançait,
Souverain, sa longue barbe bien tressée
Prête à se transformer en un fouet
Susceptible de se muer
En une liane à étrangler, il avançait,
Le fort cavalier Chevalier…
Toutes le réminiscences de la dignité y
Étaient inscrites tout le long de son corps
Jusqu’au front haut de fierté, il avançait
S’imposant de relever tous les défis,
Malgré l’acharnement des casques et képis
Incrustés à lui pomper et aspirer la cervelle
Il avançait sûr de son destin
Son destin de preux chevalier.